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En 1939 Louis Courant déposa un brevet pour un glisseur dans lequel « l'élément liquide » ne réagissait « ni statiquement ni dynamiquement » à l'avance du véhicule. L'air était aspiré par deux moteurs et éjecté sous pression sous la coque formant une « carène fictive », ce qu'on appellerait de nos jours un « coussin d'air ». La propulsion est assurée par l'échappement de l'air à l'arrière :d'où l'intérêt de deux moteurs et d'une coque divisée en deux pour diriger l'engin par variation de la puissance des moteurs. Pour reculer et faciliter la manœuvre , des « volets » permettent de détourner une partie de l'air et de l'éjecter vers l'avant. La coque dispose de pièges à air à l'avant là où de nos jours on utiliserait une jupe. Cet appareil serait aujourd'hui défini comme un « aéroglisseur à quilles latérales » Aucun prototype construit.
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During 1939 Louis Courant patented a gliding machine in which « the liquid element » did not react « statically or dynamically » to the vehicle movement. Air was taken out of the big front intakes by two engines and ejected under pressure to form a « fictive hull » (think « air bubble » ). Forward propulsion was obtained by air exhausting through the rear (hence two engines and a segmented hull to allow for lateral control). To allow for rearward movement , air could be directed to two front « flaps » to eject at the front of the machine. The real hull features curious « air traps » at the front. For the same use we now use skirts. This would now be know as an « hydrokeel hovercraft » No prototype was built
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